Un je(u) personnel et transpersonnel de la présence.
Quand une déchirure se fait dans mon cœur, elle me fait peur comme l'abîme, et je cherche à la recouvrir. Et, sourdement, je continue à sentir la douleur, et la peur, tout en me coupant d'une partie de moi-même.
Quand je ne cherche plus à la recouvrir, que je la laisse me toucher ici, au plus près de ma présence, la déchirure est comme une porte qui s'ouvre, un passage de naissance.
Et tout en sentant la douleur, derrière elle et en son cœur, je peux trouver ma réalité plus profonde.